mardi 11 septembre 2018

Je prolonge ma pause

Bonjour. J'espère que vous avez passé un bel été. Moi, oui, entourée de mes enfants, petits-enfants, famille et amis, bref de gens que j'aime.

Ce billet pour vous dire que je prolonge ma pause. J'explique pourquoi sur mon autre blog ​​Des mots des pensées. Je ne sais pas quand je reviendrai, mais je continuerai à venir vous lire, je ne serai jamais bien loin.

A bientôt. Portez-vous bien.


 Quelque part, en Haute-Loire...

dimanche 24 juin 2018

Pause d'été

Le moment de la pause estivale est arrivé. Cette pause aura lieu un peu chez moi, un peu en Bretagne, et puis un peu ailleurs. Je vous donne donc rendez-vous en septembre. Passez un très bon été et savourez chaque bel instant qui vous est offert, c'est cela qui rend heureux. A bientôt !

 Les fjords norvégiens

mardi 19 juin 2018

LA NORVEGE

Si vous désirez voir les photos que j'ai faites lors de mon voyage,

cliquez sur -> ​ Photos NORVEGE.


mercredi 13 juin 2018

Des nouvelles...

Me voici de retour après un périple de dix jours en Norvège, périple qui nous a emmenés jusqu'au Cap Nord. Là-bas, le soleil de minuit... Fantastique lumière, irréalité du moment, dépaysement total... La chance d'avoir pu me rendre là-bas et d'avoir pu profiter de ces merveilleux et inoubliables instants...

Le temps de trier quelques photos, de me remettre un peu de toutes ces émotions, et je reviens !


dimanche 13 mai 2018

Maurane et Daran - « Dernier Voyage »

Là où je me trouvais ces derniers jours, je ne pouvais pas poster de billet pour rendre un dernier hommage à Maurane, cette femme et artiste que j'appréciais beaucoup, je le fais donc aujourd'hui avec cette très belle chanson qu'elle chante avec Daran : Dernier voyage...

lundi 7 mai 2018

mercredi 2 mai 2018

PETER PAN ou l'enfant triste

 PETER PAN OU L'ENFANT TRISTE - Kathleen Kelley-Lainé 

Un très bon livre !

 Résumé 

« "La plupart des gens reconnaissent à la rencontre de Peter Pan ce petit enfant qu'ils ont été un jour et qu'ils ont tendance à oublier." Car derrière ce personnage gai, innocent et sans coeur, se cache un enfant triste, comme le dévoile magnifiquement Kathleen Kelley-Lainé. En explorant le mythe de ce petit garçon qui refuse de grandir, l'auteur, psychanalyste, se trouve renvoyée à sa propre enfance. Renvoyée également à toutes ces histoires d'enfants tristes que ses patients viennent lui raconter, et dont elle démêle, peu à peu, l'écheveau. Renvoyée enfin au créateur de Peter Pan, James Matthew Barrie, dont la vie fut un véritable roman. Trois histoires qui s'entremêlent dans un récit émouvant pour mieux comprendre la part d'enfance que chacun garde en soi, et aussi pour que les parents sachent parler aux enfants de la nécessité de grandir... et d'aimer. »

« Un livre émouvant, simple, triste et lumineux comme un beau jour d'automne. Mme Kelley-Lainé se sert de la psychanalyse comme il faut s'en servir et comme hier les poètes faisaient des vers, pour percer des âmes les secrets et des coeurs les mystères. » (François Reynaert)

samedi 28 avril 2018

vendredi 27 avril 2018

jeudi 26 avril 2018

Dialogue et encouragement (2)

Vous vous rappelez de l'histoire des deux orchidées (billet du 12 avril) ? la belle orchidée fleurie qui encourageait sa petite voisine à fleurir. Je vous avais promis une photo, la voici ! La petite orchidée a entendu le message de son aînée et elle a fleuri elle aussi. Regardez ! :-)

mardi 24 avril 2018

C'est la région où je vis...

... et elle est belle ! ♥

Prenez le temps de regarder cette courte vidéo, vous constaterez par vous-mêmes... :-)

vendredi 20 avril 2018

De l'animation, juste devant chez moi...

Ce matin

Le petit oiseau s'affaire pour préparer un nid douillet pour ses futurs petits.



Une mésange à longue queue s'affaire elle aussi, et observe.




Ce soir

La petite mésange charbonnière rêvasse devant une pâquerette.



lundi 16 avril 2018

Amusement...

J'essayais de photographier un merle à travers la baie vitrée, lorsque... je me suis vue ! oh !...


Le merle en question... :-)

samedi 14 avril 2018

LES REVEURS

 LES REVEURS  - Isabelle Carré 
Bien, très bien ce livre. Merci Agnès ! :-)

 Résumé 
« Quand l’enfance a pour décor les années 70, tout semble possible. Mais pour cette famille de rêveurs un peu déglinguée, formidablement touchante, le chemin de la liberté est périlleux. Isabelle Carré dit les couleurs acidulées de l’époque, la découverte du monde compliqué des adultes, leurs douloureuses métamorphoses, la force et la fragilité d’une jeune fille que le théâtre va révéler à elle-même. Une rare grâce d’écriture. »

 Extraits 
« J'en ai tellement entendu, que les mots et les images se sont gravés en moi. J'ai vieilli d'un seul coup et suis redevenue en même temps une petite fille, celle qui réclame sa part, sa part légitime : qu'on s'occupe d'elle comme on devrait s'occuper d'un enfant. A force de réclamer un dû qui ne viendrait jamais, la vieille dame et la petite fille se sont mêlées l'une à l'autre pour grandir, jusqu'à ce qu'on ne puisse plus les distinguer. »

« Pourquoi n’ai-je jamais su quitter les lieux que j’aimais ? Pourquoi est-ce si difficile de les laisser, d’accepter qu’on ne pourra pas les revoir car ils ne nous appartiennent plus, la porte s’est claquée pour toujours, le temps ne fera que nous en éloigner, à moins d’être un bon rêveur, celui qui se souvient toujours de ses rêves, de rêves si clairs et précis qu’ils permettent de s’y attarder encore, d’entrer à nouveau dans ces pièces de l’enfance, sans autre clé que le désir constant d’y revenir. »

« On devrait trouver des moyens pour empêcher qu’un parfum s’épuise, demander un engagement au vendeur – certifiez-moi d’abord qu’il sera sur les rayons pour cinquante ou soixante ans, sinon retirez-le tout de suite. Faites-le pour moi et pour tous ceux qui, grâce à un flacon acheté dans une parfumerie ou un grand magasin, retrouvent l’odeur de leur mère, l’odeur d’une maison, d’une époque bénie de leur vie, d’un premier amour ou, plus précieux encore, quasi inaccessible, l’odeur de leur enfance. »

« Dès qu’il la voit, il lui trouve une grâce, un éclat différent des femmes qu’il connaît. Sa peau est irréellement blanche, elle a l’air d’être de passage, comme si elle devait bientôt repartir pour une planète lointaine. Elle traverse l’espace, marche d’une pièce à l’autre, comme une somnambule. Elle n’est pas vraiment absente mais appartient à un autre plan sur le dessin. Pourtant elle capte toute la lumière. Il a devant lui une équation mystérieuse, un problème à résoudre, et il ne veut surtout pas qu’un autre le fasse à sa place. »

jeudi 12 avril 2018

Dialogue et encouragement...

La belle orchidée fleurie encourage sa petite voisine qui a pris du retard et qui a du mal à s'épanouir. Un dialogue s'est instauré entre elles et apparemment il a réussi puisque cette dernière a laissé gonfler ses bourgeons. De prochaines photos lorsque ceux-ci auront laissé place à de magnifiques fleurs... :-)

mardi 10 avril 2018

Rouge-queue noir femelle*

Le 25 mars dernier, j'avais posté une photo d'un rouge-queue noir mâle qui se trouvait sur le toit du nichoir. Aujourd'hui, c'est un rouge-queue noir femelle qui est venu(e) se poser dessus, peut-être s'agissait-il de sa dame ? Si oui, ils devraient se presser pour emménager car hier, c'était un couple de mésanges qui visitait les lieux... :-)



*Si je me suis trompée et qu'il ne s'agit pas d'un rouge-queue noir femelle, n'hésitez pas à me le signaler ! Merci.

dimanche 8 avril 2018

L'art de vivre...

Une petite citation du soir, cela faisait longtemps... :-)

L'art de vivre consiste à garder intact le sentiment de la vie et à ne jamais déserter le point d'émerveillement et de sidération qui seul permet à l'âme de voir.
(Christian Bobin)

vendredi 6 avril 2018

Ce coeur changeant

 CE COEUR CHANGEANT  de Agnès Desarthe
Un roman que j'ai aimé. Bien sûr, sinon je ne vous en parlerais pas... :-)

 Quatrième de couverture 
« Face à la vie, elle avait la même impression que lorsqu'elle regardait le paysage défiler par la fenêtre du train : si elle était dans le sens de la marche, le panorama semblait se jeter sur elle, et ses yeux affolés ne savaient à quel détail s'attacher ni quelle ligne suivre. Elle se sentait écrasée par l'image qui ne tenait pas en place, ne cessait de se transformer. Assise en sens inverse, elle retrouvait son calme et contemplait l'horizon jusqu'à sombrer dans le sommeil. Alors... alors, songeait-elle, peut-être pourrait-on dire que c'est la même chose lorsqu'on regarde soit en direction de l'avenir, soit vers le passé. Peut-être est-ce pour cela que j'ai tant besoin de mes souvenirs. »
Née à l'aube du XXe siècle, Rose débarque à Paris à 20 ans et se trouve projetée dans un univers totalement inconnu. L'affaire Dreyfus, puis la guerre de 14 éclatent. Les années folles se succèdent. Les bas-fonds, la vie de bohème, la solitude... Rose risque à tout moment de tomber.

Usant de toutes les ressources du romanesque, Agnès Desarthe mêle le murmure de l'intime et le souffle de l'Histoire dans ce grand livre baroque qui signe son retour à la fiction.

 Extrait  
« Elle protégeait les yeux de sa fille endormie, souriait aux autres voyageurs et regardait un instant le paysage fuir loin d'elle, car elle prenait soin de s'asseoir en sens inverse de la marche. C'était ainsi qu'elle avait toujours voyagé, songeait-elle, sans regarder vers l'avenir qui se précipitait sur vous comme une bête sauvage, mais plutôt tournée calmement vers le passé dont on parvenait à retenir certaines bribes tandis qu'il défilait à l'envers, jusqu'au néant. Se souvenir, quel luxe. Errer languissamment dans ces régions révolues qui n'attendaient rien de vous, n'appelaient aucune décision, aucun arbitrage. Le passé, une contrée qui ne s'offrait qu'à la contemplation. Elle se laisserait porter, à rebours si possible. Elle aurait voulu que le train roulât en sens inverse du temps, ainsi atteindrait-elle la stase, l'endroit de perfection, un sommet de la vie. Ida et moi dans le train, entre Paris et Sorø, pour toujours, proches encore de ce que nous quittons, loin cependant de ce qui nous attend. »

jeudi 5 avril 2018

Chardonneret élégant


Photo faite aujourd'hui. 
C'est la première fois que je vois un chardonneret élégant dans mon pré.
 Je suis contente !

dimanche 25 mars 2018

Un rouge-queue noir

Encore une photo d'oiseau, mais je suis à chaque fois émerveillée lorsque que je les vois ♥.

samedi 24 mars 2018

dimanche 11 mars 2018

La réponse... au goût d'algues !

Alors, à la question : « Mais où étais-je donc partie quelques jours ? », certains ont trouvé la réponse. Je me trouvais bien en Bretagne.

Lors de ce petit périple breton, je suis allée à une matinée "Découverte des algues" à Saint-Gildas de Rhuys, c'est ici que les photos ont été faites. Le temps d'une balade, Mélanie Chouan, guide nature, nous a fait découvrir les différentes algues à marée basse. Nous les avons goûtées. Certaines n'avaient pas vraiment de goût. Par contre, d'autres avaient un léger goût d'huître, elles étaient succulentes (je crois qu'il s'agit du wakamé). La guide  a ensuite préparé devant nous un tartare d'algues, algues ramassées par nos soins. Délicieux. Les algues sont très riches en vitamines et minéraux. Elle nous a également donné des idées de recettes. Mais bon, comme je vis loin de l'océan, je devrai me contenter d'algues séchées, elles n'auront pas tout à fait le même goût, mais bon, je m'en accommoderai... Voilà. :-)


samedi 10 mars 2018

jeudi 1 mars 2018

PERLIMPINPIN

Entendu ce matin chez ​ Suzame, j'adore !

Vivre, 
Vivre Avec tendresse, 
Vivre 
Et donner Avec ivresse !
(Barbara)


Jeanne Cherhal et Bachar Mar Khalifé - Perlimpinpin (Live, 2017)

dimanche 25 février 2018

Petit coeur du matin

C'est sympa de trouver de bon matin un petit coeur sur le carrelage de la terrasse. Mais ce n'est guère étonnant puisque mes petits-fils étaient auprès de moi... (sourire)

Photo faite hier matin.

lundi 12 février 2018

Petite pause...

Ce sont les vacances !... Il y a un petit bonhomme à la maison... et d'ici quelques jours, il y en aura deux... (sourire)

A bientôt !

Ce matin... Il a neigé.

dimanche 4 février 2018

Vaches lunassiennes

Pour changer un peu des oiseaux, voici une photo de vaches lunassiennes (Lunas, dans l'Hérault), photo faite le 25 décembre de l'année dernière.


 Je la trouve belle cette petite vache. :-)

mercredi 31 janvier 2018

PROFONDEURS

 PROFONDEURS , de Henning Mankell

Encore un très bon roman. Décidément, je ne me suis pas trompée dans mes choix la dernière fois à la médiathèque.

 Quatrième de couverture 
« Automne 1914. La Suède, malgré sa neutralité, craint d'être entraînée dans la guerre, car les flottes allemande et russe s'affrontent au large de ses côtes. Le capitaine Lars Tobiasson-Svartman reçoit la mission de sonder les fonds de la mer Baltique et de chercher une route maritime secrète à travers l'archipel d'Östergöland. L'homme est hanté par l'idée de contrôle qu'il exerce en mesurant tout ce qui l'entoure, les masses, le temps, les distances entre les lieux, les objets et les êtres (sa femme Kristina restée à Stockholm). Mais lorsqu'il découvre Sara Fredrika vivant seule sur une île désolée, la présence de cette femme très vite l'obsède et il devient son amant. Le fragile couvercle qu'il maintenait sur son "abîme" intérieur se soulève et son univers tiré au cordeau vole en éclats. D'allers et retours entre l'île et Stockholm, il s'invente des missions secrètes. De mensonge en mensonge - à Sara Fredrika, à Kristina, qui perd la raison, à l'amirauté qui le pousse à démissionner -, Tobiasson perd pied, sombre dans la folie et se suicide par noyade.
- Dans ce récit sobre et parfaitement construit, porté par une intensité émotionnelle constante, Mankell se mesure ici avec les plus grands auteurs suédois contemporains, Torgny Lindgren et Per Olof Enquist. »

 Extraits 
- « Était-il possible de vivre sans mentir ? Avait-il jamais rencontré quelqu’un qui ne mentait pas ? Il chercha dans ses souvenirs mais ne trouva personne. »
- « La plus grande distance à laquelle je dois me mesurer, c'est celle qui me sépare de moi-même.Où que je sois, la boussole pointe de toutes parts vers l'intérieur de moi-même. Toute ma vie, j'ai usé de faux-fuyants et de détours pour essayer d'éviter de me retrouver face à moi-même. »
- « Il comprit qu'il avait bâti la plus grande part de sa vie selon un principe insensé. Il avait poursuivi la distance au lieu de rechercher la proximité. »

lundi 29 janvier 2018

Laquelle des deux va choisir ce nichoir ?

La petite mésange bleue charbonnière ?




Ou bien alors la petite mésange à longue queue* ? C'est d'ailleurs la première fois que j'en vois une venir se poser ici. Ce sera mon Bonheur du jour ! :-)



*Merci Suzame de m'avoir indiqué son nom (sourire).